
Durant tout l’hiver, j’ai attendu… ceci.
Cette atmosphère si particulière dont je peux désormais profiter après l’avoir imaginée, dessinée, avant d’en confier la réalisation à mon mari.
Je ne suis pas la seule à être charmée par les lieux…

La roseraie a deux visages: celui ci-dessus qu’elle nous présente lorsque l’on se promène au-milieu des roses, et l’autre étudié pour être un « trompe-l’oeil » végétal.
Il donne l’impression, selon l’angle d’où on le regarde, de découvrir un joyeux fouillis, une véritable jungle composée de rosiers.
Il suffit de se déplacer de deux pas pour constater qu’il n’en est rien, que tout est bien structuré, mais que l’oeil mélange plusieurs niveaux de perspectives.
En attendant… je voudrais que le printemps ne s’arrête jamais…
Ecriplume