Mes attendrissants protégés…

Quand l’un de nos canards a suivi les poules pour aller dormir très en hauteur dans le poulailler, j’ai pensé que c’était une tentative qui resterait isolée.

Mais non… les jours suivants, chaque soir, il a recommencé son manège à la stupéfaction de mes poulettes qui ont l’air de trouver un peu curieux que ce grand poussin veuille dormir avec elles.

Pour l’instant, il ne cherche pas à se percher sur les barres, ce qui serait voué à l’échec.

Mais vu le regard qu’il jette à Bulle, l’une de ses mamans adoptives qui, elle, aime passer la nuit tout en haut et pondre ses oeufs dans un « sac à foin », il semble déjà échafauder un plan lui permettant de la rejoindre!

Et pendant ce temps-là, me direz-vous, où dorment ses frères et soeurs?
Regardez mieux…
Même s’il fait sombre dans le poulailler et qu’il est difficile de les distinguer, ils se trouvent sur la plate-forme juste sous celle des perchoirs.
Le poulailler est une véritable Cour des Miracles.
Huit poules et quatre désormais grands canards Coureurs Indiens s’y reposent la nuit, en toute sécurité et en bonne entente.
Et c’est… irrésistible.

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Le charme palmé

Je suis totalement incapable de résister à nos canards lorsqu’ils me regardent de cette manière, en penchant légèrement la tête…
Ces boules de charme palmées ont beaux être peureuses, elles sont irrésistibles.
Celle-ci s’appelle Lilas.
Enfin… pour le moment.
Car comme nous ne savons toujours pas quels sont les mâles et les femelles parmi nos Coureurs Indiens, il est possible qu’ils soient débaptisés et renommés en cours de route!

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Avis aux amateurs!

Si vous caressez le projet d’avoir chez vous des Coureurs Indiens, ne vous laissez pas influencer par ce que disent certains commentaires sur Internet.
Contrairement à ce que certains affirment, ils ont bel et bien besoin d’eau pour être heureux.
Preuve en est leur réaction dès que nous les avons testés en mettant à leur disposition un plateau rempli d’eau, assez large et long pour qu’ils puissent s’y tenir.
Ils en ont aussitôt pris possession, nous faisant comprendre au passage qu’ils ne seraient pas contre un point d’eau.
Nous allons donc réfléchir pour leur en trouver un adapté à leurs besoins.
Canards ils sont, canards ils restent!

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